Le pôle TERVILLE organise son activité autour de trois domaines d’étude centraux :
- les divisions et fragmentations urbaines : quartiers ségrégés populaires /bourgeois, visions des villes, socialisations aux mœurs et pratiques dites urbaines, aux reconfigurations des villes en contexte globalisé,
- les marges urbaines et l’urbain par ses marges : porosité des distinctions villes-campagne, émergence de catégories traversant la dichotomisation rural-urbain (périurbain, préurbain), recompositions des villes petites moyennes,
- les recompositions des pratiques de gouvernance urbaine.
Ce pôle inscrit son activité dans le champ des études urbaines. Il s’intéresse tant aux dynamiques propres aux métropoles qu’aux espaces désignés comme en déclin. Les questions de l’attractivité urbaine et des fragmentations sociospatiales sont au cœur des questionnements du pôle et s’organisent autour de trois domaines d’étude centraux :
- les centralités urbaines des petites et moyennes villes : patrimonialisation, attractivité commerciale, vacance résidentielle, relation avec les espaces périphériques,
- les espaces périurbains : pavillonnarisation, répartition des catégories sociales (gentrification et paupérisation), centralités émergentes, développement durable et densification,
- les villes mondiales : métropolisation, marketing urbain, compétition internationale.
Les réflexions portant sur les pratiques de gouvernement des villes, les catégorisations et divisions spatiales ainsi que sur les socialisations spatiales (à l’espace/par l’espace) traversent plus largement ces trois domaines d’étude.